Les Cieux, c'est une saga de romance contemporaine qui se déroule à Belfast, avec des personnages hauts en couleurs et diversifiés, c'est sept ans de travail, des heures et des heures d'écriture et de relecture, c'est des dizaines d'illustrations, toutes en couleur, pour représenter ma galerie de personnages, c'est une série de reliés soigneusement fabriqués par une autrice indépendante, avec de nombreuses finitions qui pourraient faire concurrence à une maison d'édition.
Et si les Cieux était votre prochaine lecture ?
Konstantin est russe et fier de l’être. Coincé en Irlande du Nord à cause du travail de son père, il subit plus qu’il ne vit sa vie. La seule chose qui le fait avancer est la perceptive de retourner au pays, une fois son diplôme en poche.
Charles est un mec au prénom vieillot, aux grands yeux verts et à l’accent français à couper au couteau. Avec ses frasques et son insolence, il n’espère qu’une chose : se fondre enfin dans la masse.
Et le choc des cultures, inévitable, se fait sous un ciel empli de fleurs, symbole suprême du printemps.
Eliot aime le ciel plus que n’importe quelle autre chose sur cette planète. S’il le pouvait, il abandonnerait le monde terrestre pour celui du ciel, laissant ces êtres humains inintéressants derrière lui. Mais que se passerait-il s’il se décidait à baisser les yeux, même pour quelques secondes ?
Valentin est le garçon le plus dynamique qui soit. Les pieds sur Terre, son quotidien est composé de tranches de rire avec ses camardes, d’insolence et de course. Mais derrière cette apparente vie ne se cacherait-il pas des secrets moins colorés ?
Rio ne vit que pour une seule chose : le football. Courant après les ballons depuis sa plus tendre enfance, il court surtout après son rêve, celui de devenir joueur professionnel. Adulé par la moitié de son école, il porte fièrement son étiquette de joueur vedette.
Miho, son meilleur ami, est son parfait miroir. Se connaissant depuis l’enfance, d’abord rivaux puis coéquipiers, les deux jeunes hommes sont comme un seul être sur le terrain vert.
Les deux doigts de la main, les deux faces d’une même pièce, les surnoms pleuvent sur ceux qui semblent tout savoir l’un de l’autre. Mais la réalité les rattrape, tout comme les mensonges.
Lorsque l’automne arrive, en amenant avec lui la rentrée en dernière année et le début d’une nouvelle saison de football, les feuilles tombent, tout comme les masques.
Curtis est un con depuis qu’il a dix ans. Trahissant son meilleur ami pour intégrer le groupe des enfants populaires, il a tout fait pour rentrer dans les cases que lui impose la société, quitte à nier sa propre identité. Mais bien malgré lui, il a appris qu’un triangle ne peut pas subitement se transformer en carré, même par la force de sa volonté. Il est ainsi considéré comme un méchant par son entourage, et il va tout tenter pour redorer cette image.
Samuel semble être le garçon parfait. Joueur de football, parfait gentleman avec les filles, il cache pourtant un sombre secret. A cause de son attirance pour d’autres garçons, et en particulier ceux de son équipe, il se déteste du plus profond de son être. Lui aussi, c’est un triangle qui veut devenir un carré. Et lui aussi, c’est le méchant d’une histoire. Tout ce qu’il espère, c’est qu’un jour, il aura le rôle du gentil.
Coby a deux vies : le jour, il est vétérinaire dans une clinique à Belast, prenant soin des chiens, des chats et des serpents de ses clients. La nuit, il devient Caliban, rôdeur de son état, partant à la découvertes des îles de Celestia Islands, le jeu en ligne sur lequel il passe de nombreuses heures afin de se décharger du stress apporté par son travail et surtout sa collègue infernale. Là, il fait la connaissance de Riviosa, une ninja aux cheveux violets, qui l’entraine à la poursuite d’armes et armures fantastiques. Au détour de quelques conversations, Coby se rend compte que dans la vie, l’habit ne fait pas le personnage de jeux vidéos. Loin de là…
Hyppolyte est en passe de devenir docteur en astrophysique. Étudiant à l’université d’Oxford depuis plus de neuf ans, il ne sait que faire de sa vie une fois le titre obtenu. Du fond de son bureau, entouré de livres et de théories invérifiables, il ne sait plus où sont les étoiles qui symbolisent son rêve d’enfant.
Yahiko est un écrivain reconnu dans le monde de la fantasy. Avec ses mots, il imagine mille et une histoires à ses personnages hauts en couleur, mettant en péril leur vie et rencontrant le grand amour. Mais quand son nouveau roman se fait attendre et que ses fans s’impatientent, son imagination l’abandonne, le laissant démuni face à son écran blanc.
Et si, pour retrouver ce qu’ils ont perdu, les deux jeunes hommes devaient simplement se retrouver…tout court ?
Le temps qui se rafraichit, les feuilles qui tombent des arbres, les couleurs changeantes et la pluie sont propices à la lecture sous une couverture. Pourquoi pas avec Ciel d'automne ?
Parce que Rio et Miho sont mon couple qui s'aime le plus. Leur amour se développe depuis des années, et une fois qu'il s'épanouit au grand jour, plus rien ne peut les arrêter.
Parce que c'est un excellent moyen de commencer les Cieux. L'année scolaire débute presque avec eux, et la chronologie est la même que celle de Ciel d'été et d'hiver.
Je m'appelle Ludivine Silvestre et je suis autrice indépendante depuis 2021. J'écris depuis plus de dix ans avec toujours dans l'idée de tenir un jour mes histoires entre mes mains. L'écriture est venue à moi au travers des crises d'angoisses que je faisais (et fais toujours) car j'étais harcelée à l'école. J'utilisais ce moyen pour exprimer mes sentiments que je camouflais au fond de moi de peur que quelqu'un devine ce qui se passait dans ma vie. Lorsque je suis sortie de cette période sombre de ma vie, j'ai continué à écrire parce que j'avais pris goût à cette liberté.
Mes premiers écrits n'étaient pas bons et mélangeaient plusieurs genres, comme le fantastique et la science-fiction. Outre le fait que je me mettais en scène sans l'admettre, je reprenais bien des choses de médias que je consommais beaucoup à l'époque : les jeux-vidéos d'abord, puis les mangas dont certains personnages ont carrément fait une apparition dans mes écrits.
En grandissant, j'ai abandonné cette idée pour me diriger vers une autre, qui deviendra le tout premier roman que j'ai fini. Les Liens du sang, titre cliché au possible, est une fantasy où encore une fois, je me mettais en scène dans le rôle d'une espionne qui avait un don pour le tir à l'arc. Je reprenais également les codes de différents livres de fantasy que je dévorais durant mon temps libre. L'histoire était peu développée, voire offensante sur certains points. C'est pour cette raison que j'ai commencé à la réécrire, une année seulement après l'avoir finie. Je n'ai malheureusement pas fini cette réécriture, puisque j'ai commencé à créer le monde des Cieux au même moment.
Outre l'écriture, j'ai fait des études de lettres et je suis titulaire d'un master d'édition. Dans un monde parfait où je n'aurais pas fini mes études en même temps qu'une pandémie et où l'édition n'était pas un monde aussi fermé, j'aurais travaillé dans le métier du livre. Au lieu de cela, j'ai décidé de mettre mes compétences (parfois apprises par moi-même) au service de mes écrits. Je réalise tout moi-même : la couverture, la maquette, la jaquette et même les illustrations. Parfois, je me dis même que si je le pouvais, j'imprimerais mes livres depuis chez moi.
En plus d'être autrice indépendante, je suis enseignante dans le primaire. Quand je n'écris pas la vie de mes personnages, j'enseigne le français et les mathématiques à une bande de petits monstres de CM2. Comme il s'agit de ma première année, j'ai beaucoup de travail pour la préparation de mes cours, et malheureusement moins de temps à consacrer à mes livres. C'est bien pour cela que je suis contente que les vacances existent !